que le supplice s'arrête!!

Les études c'est le terrain de jeu de l'ascenceur émotionnel. Vous savez ce moment où vous êtes heureux et dans la seconde qui suit vous devenez tout triste.

Hier pour moi, l'ascenceur a été inversé mais les effets sont tout autant indésirables.

La journée commence par une mauvaise nouvelle. Premier refus pour le Master 2. C'est dur. C'est comme se prendre une grosse claque dans la figure. Certes c'est une des meilleures universités de l'hexagone donc quelque part ce n'est pas surprenant mais bon.. l'échec n'est jamais très facile à encaisser.

S'en suit une remise en question, une baisse de la confiance en soi, de la panique, du stress... Et là, une amie qui passe un coup de fil pour dire que les résultats du Master 1 sont affichés. Panique x2.

La bonne nouvelle était au rendez-vous, arrivée devant le tableau je vois que je suis admise et une très bonne moyenne à la clé. Ouf.

Heureusement pour moi j'ai terminé sur une bonne nouvelle cette journée qui commençait mal. J'ai pu savourer ma réussite mais le lendemain... le stress revient vite, trop vite.